Parcours PMA : l’écriture, une bonne thérapie ?

Parcours PMA : l’écriture, une bonne thérapie ?

Qu’il est long ce parcours pour donner la vie. Il peut parfois prendre plusieurs années. Et lorsqu’on est dedans, on est dans l’action et puis ensuite ? Je vais vous livrer un de mes conseils pour essayer de mieux vivre le parcours PMA : celui d’écrire son histoire, son parcours. Pourquoi ? S’en souvenir ? Le lui raconter ? Ne pas oublier ? Pour relire tout ce que l’on a traversé durant ce long et difficile parcours PMA. Laissez moi vous expliquer en quoi, lors d’un parcours PMA, l’écriture peut être une véritable thérapie. Allez, à vos plus belles plumes !

Infertilité : pourquoi est-ce important d’écrire ?

Saviez-vous que coucher sur papier ce que l’on vit, qu’il s’agisse d’une période heureuse, de doutes ou plus difficile, est un excellent moyen d’extérioriser, de se souvenir, d’accepter et puis qui sait, d’un jour de raconter votre histoire.

Coucher sur papier son parcours PMA : l’écriture, une véritable thérapie.

L’écriture intègre l’art-thérapie. C’est en soi une thérapie aux multiples vertus. Lors de votre parcours PMA, vous, votre couple, et votre corps êtes souvent malmenés. Ces longs mois de traitements (hormones, examens, Ovitrelle, attente), vous font vivre de multiples émotions. Je parlais même d’ascenseur émotionnel dans un précédent article. Et le pire…C’est que ça traîne en longueur, pour beaucoup. Et pourtant c’est votre histoire, celle de votre couple et encore plus celle de votre futur enfant. Laissez moi vous présenter tous les bienfaits de l’écriture lorsque l’on vit l’infertilité. J’ai vu dans l’écriture et durant notre parcours, une véritable thérapie.

Écrire apaise l’esprit, l’âme, le cœur et le corps.

Vous allez vite vous prendre au jeu ! Une fois la décision prise d’écrire, les mots vont sortir par flots, par vague. Ils vont danser sur le papier au rythme de ce que vous voudrez livrer. Certains mots seront indélébiles et d’autres le parfait reflet d’émotions multiples que vous aurez traversées. Quoiqu’il en soit, ils seront le reflet de votre histoire et vous apaiseront.

Écrire permet de mettre des mots sur les maux.

Et des maux, des effets indésirables, il y en a, lorsqu’on vit l’infertilité ! Ce corps qui fait mal, ces rendez-vous interminables, ces attentes pleines d’espoir, ces douches froides à la vue du test de grossesse négatif…la liste est longue. Bien trop longue. Alors, il y a celles qui préfèrent oublier et celles qui noteront, quelque part, ce qu’elles ont vécu. Laquelle serez-vous ?

Écrire permet d’accepter des situations difficiles et douloureuses.

Voici un exemple concret. Je me souviens de ce jour d’hiver, juste avant Noël, lorsque ma belle-sœur a eu la délicatesse de m’annoncer sa grossesse en petit comité (je la remercie d’ailleurs !). Bien que je me réjouissais pour elle et mon beau-frère, la tristesse m’a envahit. Cette annonce appuyait là où ça faisait mal. J’ai écris l’article sur « quand le bonheur des unes fait le bonheur des autres« , dans la foulé pour extérioriser ce qui m’habitait vraiment. J’ai laissé parler les émotions et le reflet de ce en quoi je croyais vraiment : toujours se réjouir du bonheur des autres. Ce jour-là, ma belle-sœur a été une des mes plus belles sources d’inspiration. J’ai pu coucher mes émotions et choisir l’état d’esprit positif, l’espérance, plutôt que cultiver le désespoir, la jalousie, la tristesse.

Écrire permet de se souvenir, de se rappeler.

Que j’aime relire des articles que j’ai écris à vif ou des lettres que mon mari m’a écrites. Les mots ne mentent pas. Les émotions restent, malgré tout le chemin parcouru. Ne vous étonnez pas si les larmes montent à la relecture de certains textes que vous aurez écrits.

Écrire permet de raconter son histoire.

Un jour, il sera là, l’enfant que vous attendez tant. Et peut-être qu’il vous demandera au détour d’un jeu. »dis maman raconte moi mon histoire« . Je fais partie de celles qui pensent que dire à son enfant combien il a été voulu est positif pour son développement. Encore plus lorsqu’il a été attendu, espéré, désiré. Sans tomber dans le pathos et en adaptant le discours à chaque âge, chaque enfant a besoin de savoir d’où il vient, comment il a été conçu, quelle est son histoire ? Et parfois pourquoi il a été conçu de cette manière ? Savoir qu’on a été désiré et attendu est un cadeau pour la confiance de votre enfant. Sauf que le cerveau est bien fait, et certains passages de son histoire seront vite oubliés. Peut-être pour le mieux, à vous de voir.

Comment se libérer du parcours PMA grâce à l’écriture ?

Il y a mille et une façons de prendre la plume. Vous trouverez la votre. Ici, je vais vous livrer trois façons que je connais le mieux et que j’utilise (pour 2 d’entre elles).

Écrire pour en rire, grâce à la BD.

Connaissez-vous Claire S2C ? C’est une femme rayonnante, qui a su transformer la douleur en source d’inspiration et de créativité. Elle a dépassé sa peine et a puisé dans ses talents pour écrire un e BD  » Ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants…ou pas. » Elle a couché sur papier son histoire pour la partager avec d’autres. Le magazine Fabuleuse au Foyer, lui consacre un article si vous voulez la découvrir.

Écrire pour partager, informer, témoigner.

Lorsque j’attendais ma première fille, je cumulais l’attente puisque j’étais également au chômage. Ca fait beaucoup. J’ai donc décidé d’ouvrir ce site internet pour informer, partager toutes les informations que je pouvais trouver sur le sujet du moment qui me concernait tant ! Cela a été salvateur ! Et lorsque je découvre vos commentaires, cela me confirme qu’il faut continuer à écrire. Vous êtes nombreuses à avoir besoin de soutien, d’information, de témoignages.

Écrire pour lui raconter son histoire.

Au détour d’un podcast, j’ai découvert que l’on pouvait écrire à son enfant. Comment ? En lui écrivant, soit dans un joli cahier, soit dans des mails. Voilà comment vous y prendre pour la deuxième solution.

Ouvrez un compte mail à votre enfant. J’ai choisi de donner les codes d’accès le jour des 13 ans de ma fille. Ce sera mon cadeau, très personnel et une manière de lui dire combien je l’aime. 13 ans c’est l’âge de l’adolescence, des questions, des doutes, du besoin de se rassurer et de connaître son histoire.

Depuis qu’elle est bébé, je lui écris des mails dans lesquels je lui raconte ses premières fois, et les évènements importants. Évidemment, lors du tout premier mail, je lui ai raconté comment elle est arrivée chez nous et combien nous étions heureux. Ce mail est précieux, car il a, lui aussi, une valeur « thérapeutique ». Non ce n’est pas anodin d’attendre de longs mois, de subir des traitements, et une valse d’émotions. Il n’y a rien à cacher, tout est avouable, cet enfant était désiré et il peut savoir le chemin que nous avons parcouru pour lui donner la vie, l’accueillir dans notre vie. Là, encore, suite à un parcours PMA long et difficile, l’écriture peut s’avérérer être une forme de thérapie.

Je trouve l’idée (qui n’est pas de moi), extra car, comme je le disais plus haut, les mots ne mentent pas. Je me surprends à laisser les larmes monter lorsque je relis ce que je lui ai écrit. Combien on oubli…combien c’est bon de se souvenir, de voir tout le chemin parcouru et de voir le résultat de ce que l’on qualifie parfois de « combat ».

Pour conclure, mesdames, prenez vos plumes.

A la lecture de cet article, vous l’aurez compris, j’attache une grande importance aux bienfaits de l’écriture durant un parcours PMA, qui fait presque office de thérapie. Je vous souhaite à chacune de trouver ce qui vous conviendra le mieux. Mais ne perdez pas de vue que tout ce que vous vivez, c’est votre histoire. L’accepter est parfois un processus long et fastidieux. La coucher sur papier vous rappellera, un jour ou l’autre, combien vous avez été forte pour la dépasser, la transformer, la développer. L’écriture est votre meilleure alliée durant votre parcours PMA. C’est une véritable thérapie douce qui vous accompagne tout au long de votre parcours PMA.

Anne Hathaway brise le tabou de l’infertilité (et c’est nécessaire)

Anne Hathaway brise le tabou de l’infertilité (et c’est nécessaire)

Anne Hathaway brise le tabou de l’infertilité (et c’est nécessaire).

Tabou infertilité

L’actrice américaine Anne Hathaway a annoncé sa deuxième grossesse, en insistant sur le fait que rien n’a été facile dans la conception de son premier, ni de son deuxième enfant. Un message honnête et essentiel sur la fertilité.

Le 25 juillet 2019, Anne Hathaway publiait une image sur Instagram pour annoncer sa deuxième grossesse. Une photo d’elle qui montre son ventre arrondi, prise devant un miroir, dans ce qui semble être son salon. Le message aurait pu s’arrêter là, et les félicitations se seraient multipliées.

Seulement l’actrice de 36 ans a préféré témoigner sur un sujet qui lui tient à coeur, encore trop tabou aujourd’hui : la fertilité et la difficulté pour certaines femmes et certains hommes d’attendre un enfant. Le parcours interminable que cela représente et le déchirement que cela engendre parfois.

« A toutes celles et ceux qui vivent l’infertilité et l’enfer de la conception, sachez s’il vous plaît que cela n’a pas été une ligne droite dans l’une ou l’autre de mes grossesses. Je vous envoie de l’amour en plus« , écrit-elle. Une prise de parole qui a été largement saluée par sa communauté.

En France, les faits sont là mais la communication reste quasiment inexistante. D’après l’Observatoire épidémiologique de la fertilité en France (Obseff), 18 à 24 % des couples n’arrivent pas à concevoir au bout d’un an d’essai, et 8 à 11 % d’entre eux et elles n’ont toujours pas de résultats au bout de 24 mois. On compte également 10 % de couples stériles. Et pourtant, la grossesse reste cette expérience « magique » dont l’on cache les moindres désagréments, qu’ils arrivent avant la fécondation ou pendant la gestation. Un voile de fumée derrière lequel Anne Hathaway n’a pas souhaité se cacher.

« Je pense qu’il y a un silence autour des moments précédents [la grossesse] et qu’ils ne sont pas tous heureux« , a-t-elle ajouté lors d’une interview avec ET. « En réalité, beaucoup d’entre eux sont même très douloureux. Je pense que la douleur vient aussi du fait que ces femmes ont l’impression qu’elles sont les seules à traverser ça. »

Et en s’exprimant sur ce sujet, l’actrice a ainsi souhaité prouver que les problèmes de fertilité peuvent arriver à n’importe qui. Et qu’ils sont souvent surmontables grâce aux progrès de la médecine, même si incroyablement difficile à vivre.

« Je savais que quelque part, mon annonce allait faire en sorte que quelqu’un se sente encore plus mal, parce qu’on ne peut pas s’en empêcher quand on veut quelque chose si fort et qu’on a l’impression que ça arrive à tout le monde sauf à soi-même« , poursuit-elle. « Et je voulais simplement que cette personne sache qu’elle est aussi incluse dans mon histoire et que mon histoire n’a pas que des moments heureux. » Un discours nécessaire qui saura sans aucun doute épauler et rassurer nombreux de ses abonnés.

 

 

Charlotte, 36 ans, témoigne de son voyage en PMA

Charlotte, 36 ans, témoigne de son voyage en PMA

Bliss.Stories

Merci bliss.stories

Avant de vous partager l’histoire de Charlotte, je voudrais remercier Clémentine, fondatrice de bliss.stories, qui a gentiment accepté que je partage, sur Fertile & Co, l’histoire de femmes qui ont eu recours à l’aide médicale pour accueillir la vie.

Bliss.stories  décomplexe la maternité à travers les rencontres de Clémentine et toutes ces femmes qui acceptent de partager leur aventure de la maternité, avec elle et avec nous. Je diffuserai plusieurs témoignages de femmes qui ont vécu l’infertilité et qui l’ont vaincue. Ce sont de vrais messages d’espoir, empli de réalités concrètes et des bouffées d’oxygène dans ce parcours parfois sinueux.

Commençons par Charlotte et sa magnifique victoire sur le parcours du combattant qu’impose la procréation médicalement assistée.

Témoignage parcours PMA

#Le parcours d’un couple ordinaire et de son (trop long) voyage en PMA 

Charlotte est l’heureuse maman de Félix et Gloria. Working-Girl et working-Mum, elle vit à 100 à l’heure. Elle fait partie de ces femmes fortes qui ne baissent pas les bras facilement face à l’adversité. Ce combat elle le mènera, l‘infertilité, elle la vaincra. Sa première grossesse arrive rapidement, mais sa seconde, c’est une autre histoire. C’est cette histoire que Charlotte nous partage dans le podcast qui suit.

Tout commence, lorsqu’après 6 mois à espérer l’arrivée d’un deuxième enfant, rien n’arrive. Charlotte, âgée à l’époque de 36 ans et son mari, conscients que l’horloge biologique ne joue pas en leur faveur, se rapprochent rapidement de leur gynécologue pour vérifier que « tout va bien ».

C’est le bal des examens qui démarrent : prise de sang, échographies et hystérosalpingographie pour elle. Pour lui, c’est le même cocktail, auquel s’ajoute le tant redouté « spermogramme ». L’infertilité n’est pas qu’une histoire de femmes, 30 % des infertilités proviennent de l’homme.

Le verdict tombe : c’est le début d’un long voyage en PMA et d’un combat contre l’infertilité.

Cette wonder-maman nous raconte ses quatre (trop) longues années de rendez-vous médicaux, de rencontres avec des spécialistes, de larmes versées, d’espoirs déçus et renouvelés, de doutes, de colère et… de joie.

Pour écouter et découvrir l'histoire de Charlotte, c'est par ici que ça se passe :

#Des conseils pour bien vivre son parcours PMA :

1. Osez vous rapprocher de votre gynécologue. Lorsque le doute d’une infertilité s’installe, prenez rendez-vous avec votre gynécologue. Parlez-lui de vos doutes, de votre histoire, de votre désir d’accueillir la vie. Il saura vous orienter, vous rassurer ou vous prescrire des examens qui diagnostiqueront ou écarteront une éventuelle infertilité.

2. Prenez le temps de vous demander quelles sont vos relations avec votre praticien, si le diagnostique de l’infertilité est posé :

  • est-il à l’écoute ?
  • est-il doux ?
  • fait-il preuve d’un minimum d’empathie ?
  • Comment avez-vous vécu sa façon de vous prendre en charge lors de votre premier rendez-vous et sa manière de vous annoncer l’infertilité ?

Toutes ces réponses sont importantes, car elles vont conditionner votre début de cheminement vers la maternité. Lorsqu’on démarre un parcours de procréation médicalement assistée (PMA), il faut avoir confiance en son médecin. Ce parcours peut s’avérer long, douloureux, empli de doutes. Lorsque vous échangez avec votre gynécologue, si vous ne vous sentez pas écoutée, comprise, soutenue, c’est votre moral qui va en pâtir et qui risque de flancher. Et ce moral on le veut bon pour optimiser votre fertilité et maximiser vos chances d’être enceinte.

3. Osez poser des questions et obtenir des réponses. Lorsque vous passez un examen, demandez que l’on vous explique en quoi il consiste, ce qu’il analyse, comment il se déroule et pourquoi on le réalise. Vous avez le droit d’être actrice de votre fertilité et de votre chemin vers la maternité. N’hésitez pas à poser des questions sur le groupe Facebook Fertile & Co. D’autres femmes sont passées par là avant vous. Elles vous répondront et partageront leurs expériences.

4. Acceptez d’être accompagnée. Si votre moral est en train de vous lâcher (doutes, colères, déceptions, fatigue), acceptez de vous tourner vers un coach en fertilité ou une personne capable de vous écouter, de vous accompagner. Vous vivez une période particulièrement, intense en émotions.

5. Prenez grand soin de votre couple. « Seul on va plus vite, à deux on va plus loin. » Vous et votre conjoint courrez un marathon : prenez soin l’un de l’autre pour former une équipe qui vaincra l’infertilité. L’un doit pouvoir compter sur l’autre et vice et versa. Communiquez pour préserver l’amour qui vous unit. Avec les échecs, les déceptions, le silence peut s’installer laissant une entière place à la distance avec votre conjoint. Chacun souffre en silence…Au contraire, communiquez, partagez ce que vous vivez : c’est ce qui vous unit dans l’adversité. Prendre soin de son couple est essentiel pour affronter le parcours vers la parentalité et ressortir plus fort de cette épreuve.

Pour écouter et découvrir l'histoire de Charlotte, c'est par ici que ça se passe :

TOP 10 des choses à faire pour se remonter le moral lors de ces journées PMA où ça ne va pas.

TOP 10 des choses à faire pour se remonter le moral lors de ces journées PMA où ça ne va pas.

PMA : ces jours où ça ne va pas…TOP 10 des choses à faire pour se remonter le moral.

PMA : Top 10 des choses à faire pour se remonter le moral

Osons le dire, durant un parcours de procréation médicalement assistée (PMA), il y a des jours « avec » et des jours « sans« , des jours où « ça va« , des jours où « ça ne va pas« . Une, deux ou trois fois par semaine la journée démarre par un bilan hormonal, histoire de monitorer les taux hormonaux et les follicules stimulés. Puis, c’est parti pour l’échographie pelvienne…là le verdict tombe : soit tu as « bien bossé » et tu es une « bonne répondeuse« , soit tu es la « mauvaise élève » ou la « mauvaise répondeuse« . Pourtant, tu n’y peux rien. Tu as bien pris ton traitement chaque jour, tu as fait attention à ton alimentation, tu as même fait un peu de yoga fertilité histoire de booster tout ça…et pourtant les résultats ne sont pas très encourageants.

Remercions tous ces médecins qui font preuve d’empathie ces jours-là, qui savent à la vue des résultats de l’échographie pelvienne, que c’est une journée qui va être plus dure que les autres.

A ce moment-là, il faut accepter que les larmes coulent, que la motivation tombe en chute libre, emmenant avec elle, espoirs, espérances et positive attitude.

Vous venez de vivre un stress et parfois même un choc émotionnel. Votre hypothalamus, votre hypophyse et vos glandes surrénales sont très sollicitées. Pour ce remettre de ces journées PMA où rien ne va, il existe des remèdes naturels qui fonctionnent plutôt bien.

Il suffit parfois de peu de choses pour que la motivation et la positive attitude reviennent : l’appel à un ami ? un diner légèrement arrosé ?

Voici le TOP 10 des choses à faire pour transformer ces journées « où rien ne va » et bien les terminer, le moral plus léger :

Couple stérile stérilité solitude épreuve combat infertilité

#1 Discutez, communiquez, partagez avec votre conjoint

Même si ce n’est pas votre conjoint qui vit les examens réguliers liés à la PMA, il a son rôle dans cette aventure : vous n’êtes pas seule. Votre déception est sa déception. Parlez-en, libérez-vous, lâchez vous, râlez, hurlez, pleurez, écoutez-le… Blottissez-vous dans ses bras, c’est bien là que vous serez le mieux !

#1 pour combattre la PMA : Discuter, communiquez avec votre conjoint

#1 Discutez, communiquez, partagez avec votre conjoint

Même si ce n’est pas votre conjoint qui vit les examens réguliers liés à la PMA, il a son rôle dans cette aventure : vous n’êtes pas seule. Votre déception est sa déception. Parlez-en, libérez-vous, lâchez vous, râlez, hurlez, pleurez, écoutez-le… Blottissez-vous dans ses bras, c’est bien là que vous serez le mieux !

PMA : conseil appelez des amies, soutien, espérance, écoute

#2 L’appel à une amie

Les résultats tombent généralement en début d’après-midi, et avant de pouvoir rejoindre votre amoureux, il peut se passer quelques heures. Pour éviter de mouronner, appelez une amie. Durant ce parcours, vous pouvez décider d’être de ces femmes qui se débrouillent toute seule, qui ne comptent que sur elles-mêmes. Ou bien, vous pouvez accepter votre épreuve et le fait qu’elle vous fragilise. Votre amie saura prendre le temps de vous écouter, de vous soutenir et peut-être même de passer du temps avec vous. A toutes celles qui lisent pour comprendre ce que peuvent vivre leurs amies confrontées à l’infertilité : soyez ces oreilles, ces épaules sur lesquelles ont peut pleurer sans se sentir jugée.

PMA : se défouler sport

#3 Enfilez vos baskets et défoulez-vous

Le sport… Tout le monde n’a pas le même rapport au sport, mais avouons-le, ça permet de décompresser. Qu’il s’agisse d’une heure de zumba, de 20 min de footing, de 30 min de marche active, ou d’une séance de yoga fertilité, enfilez vos baskets. Votre corps et votre esprit ont besoin de se changer les idées. C’est dur, mais ça fait du bien ! Parole d’une non-sportive.

PMA ces jours où ça ne va pas, se détendre

#4 Offrez-vous un temps rien que pour vous

Un thé chaud ? Un massage ? Un moment de détente en écoutant une musique qui vous plait ? Un bon film ? Ce moment-là vous appartient et c’est à vous de le choisir. L’essentiel c’est qu’il vous fait plaisir.

huiles essentielles PMA détente

#5 Détendez-vous dans un bain d’huile essentielle.

C’est l’heure d’un bon bain ! Prenez soin de votre corps et offrez-lui de se détendre dans un bain (pas trop chaud), dans lequel vous aurez versé quelques gouttes d’huile essentielle.

Mais quelle huile essentielle utiliser ?

Huile essentielle de lavande ou d’orange douce, ce sont les huiles essentielles par excellence de la détente. Elles vous apaiseront psychologiquement et physiquement et amélioreront votre sommeil. C’est pas mal non ? 8 gouttes suffisent, diluées dans deux cuillères à soupe d’huile d’olive pour la lavande et dans ¼ de litre de lait pour l’orange douce. 

Lorsqu’on a recours à la procréation médicalement assistée, il peut arriver que la vie de couple soit affectée : pas le moral, les hormones qui nous jouent des tours et qui nous mettent les nerfs en boule, … Reboostez-vous grâce à des huiles naturelles : l’huile Ylang Ylang. Cette huile essentielle possède des vertus aphrodisiaques. Qui a dit qu' »infertilité » devait rimer avec « morosité » ? Diluez l’huile Ylang Ylang dans 2 cuillères à soupe d’huile d’argan et hop plongez-vous dans votre bain. Retrouvez plus de conseils concernant les huiles essentielles sur le comptoir botanique.

PMA ces jours où ça ne va pas se détendre

#6 Mettez toutes les chances de votre côté pour passer une bonne soirée.

Les larmes sont séchées ? Hop hop hop ! On fonce s’habiller, on se met en cuisine avec sa playlist préférée et c’est parti pour la soirée. Si la journée a été dure, vous pouvez faire en sorte que la soirée sera bonne ! Un petit conseil que j’ai vite appliqué ces soirs là : préparez tout ce dont vous n’aurez plus le droit d’ici quelques temps, lorsque vous serez enceinte. Comme me l’a très justement conseillée une amie, voici le menu :

  • Sushis, en entrée
  • Carpaccio, charcuterie, tartare ou fruits de mer, en plat
  • Plateau de fromage
  • Tiramisu, en dessert

Un cocktail pour démarrer la soirée et vous remettre de cette journée et quelques verres de vin vous feront vite oublier cette journée. ( à consommer avec modération, ce n’est bon ni pour le poids, ni pour vos follicules, ni pour votre santé).

Vous pouvez également vous offrir une variante « restaurant » pour vivre un moment de qualité à deux, rien que vous deux.

PMA ces jours où ça ne va pas se détendre

#7 Dansez, dansez, dansez

Dans un podcast de Bliss.Stories, une femme raconte qu’elle a perdu l’envie de danser durant tout son parcours de procréation médicalement assistée. Elle l’a retrouvée le jour où elle a découvert qu’elle était enceinte. Alors non…nous n’y sommes pas encore, mais lâchons notre corps qui prend tant sur lui, libérons-le des tensions. 

PMA : ces jours où ça ne va pas, amour, couple, combat infertilité

#8 Après la pluie, le beau temps

Et si le beau temps, c’était ce soir avec votre conjoint, une fois la porte de votre chambre fermée. Là, place à votre intimité : c’est votre soirée.

PMA, combat, dormir, fatigue, prendre soin de soi, combat infetilité

#9 Plongez dans les bras de morphée :

Une bonne nuit de sommeil et ça repart. Cette bonne nuit est possible, car vous avez appliqué quelques conseils qui vous ont reboostée.

PMA parcours combattant combat infertilité positive attitutde courage force

#10 Maintenant on cultive la positive attitude

Vous voilà requinquée et prête à reprendre le chemin du parcours de procréation médicalement assistée, à suivre scrupuleusement les traitements et à vous rendre à vos rendez-vous. Vous avez renoué avec l’espérance : Félicitations !

PMA : se défouler sport

#4 Offrez-vous un temps rien que pour vous

Un thé chaud ? Un massage ? Un moment de détente en écoutant une musique qui vous plait ? Un bon film ? Ce moment-là vous appartient et c’est à vous de le choisir. L’essentiel c’est qu’il vous fait plaisir.

#3 Enfilez vos baskets et défoulez-vous

Le sport… Tout le monde n’a pas le même rapport au sport, mais avouons-le, ça permet de décompresser. Qu’il s’agisse d’une heure de zumba, de 20 min de footing, de 30 min de marche active, ou d’une séance de yoga fertilité, enfilez vos baskets. Votre corps et votre esprit ont besoin de se changer les idées. C’est dur, mais ça fait du bien ! Parole d’une non-sportive.

PMA ces jours où ça ne va pas, se détendre
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#5 Détendez-vous dans un bain d’huile essentielle.

C’est l’heure d’un bon bain ! Prenez soin de votre corps et offrez-lui de se détendre dans un bain (pas trop chaud), dans lequel vous aurez versé quelques gouttes d’huile essentielle.

Mais quelle huile essentielle utiliser ?

Huile essentielle de lavande ou d’orange douce, ce sont les huiles essentielles par excellence de la détente. Elles vous apaiseront psychologiquement et physiquement et amélioreront votre sommeil. C’est pas mal non ? 8 gouttes suffisent, diluées dans deux cuillères à soupe d’huile d’olive pour la lavande et dans ¼ de litre de lait pour l’orange douce. 

Lorsqu’on a recours à la procréation médicalement assistée, il peut arriver que la vie de couple soit affectée : pas le moral, les hormones qui nous jouent des tours et qui nous mettent les nerfs en boule, … Reboostez-vous grâce à des huiles naturelles : l’huile Ylang Ylang. Cette huile essentielle possède des vertus aphrodisiaques. Qui a dit qu' »infertilité » devait rimer avec « morosité » ? Diluez l’huile Ylang Ylang dans 2 cuillères à soupe d’huile d’argan et hop plongez-vous dans votre bain. Retrouvez plus de conseils concernant les huiles essentielles sur le comptoir botanique.

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#6 Mettez toutes les chances de votre côté pour passer une bonne soirée.

Les larmes sont séchées ? Hop hop hop ! On fonce s’habiller, on se met en cuisine avec sa playlist préférée et c’est parti pour la soirée. Si la journée a été dure, la soirée sera bonne ! Un petit conseil que j’ai vite appliqué ces soirs-là : préparez tout ce dont vous n’aurez plus le droit d’ici quelques temps, lorsque vous serez enceinte. Comme me l’a très justement conseillée une amie, voici le menu :

  • Sushis, en entrée
  • Carpaccio, charcuterie, tartare ou fruits de mer, en plat
  • Plateau de fromage
  • Tiramisu, en dessert

Un cocktail pour démarrer la soirée et vous remettre de cette journée et quelques verres de vin vous feront vite oublier cette journée ( à consommer avec modération, ce n’est bon ni pour le poids, ni pour vos follicules, ni pour votre santé).

Vous pouvez également vous faire une variante « restaurant » pour vivre un moment de qualité à deux, rien que vous deux.

PMA se détendre, couple, complicité

#8 Après la pluie, le beau temps

Et si le beau temps, c’était ce soir avec votre conjoint, une fois la porte de votre chambre fermée. Là, place à votre intimité : c’est votre soirée.

#7 Dansez, dansez, dansez

Dans un podcast de Bliss.Stories, une femme raconte qu’elle a perdu l’envie de danser durant tout son parcours de procréation médicalement assistée. Elle l’a retrouvée le jour où elle a découvert qu’elle était enceinte. Alors non…nous n’y sommes pas encore, mais lâchons notre corps qui prend tant sur lui, libérons-le des tensions

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#10 Maintenant on cultive la positive attitude

Vous voilà requinquée et prête à reprendre le chemin du parcours de procréation médicalement assistée, à suivre scrupuleusement les traitements et à vous rendre à vos rendez-vous. Vous avez renoué avec l’espérance : Félicitations !

#9 Plongez dans les bras de morphée 

Une bonne nuit de sommeil et ça repart. Cette bonne nuit est possible, car vous avez appliqué quelques conseils qui vous ont reboostée.

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Allez courage et rappelez-vous : « La vie ce n’est pas d’attendre que les orages passent, c’est d’apprendre à danser sous la pluie ».